
« Le Boiseleur, tome 2 – L’Esprit d’atelier » : la sculpture, cet art mystérieux
Cette deuxième partie du conte enchanteur co-réalisé par le regretté Hubert et Gaëlle Hersent, publié à titre posthume, nous emmène sur les rives de Belizonde.
Cette deuxième partie du conte enchanteur co-réalisé par le regretté Hubert et Gaëlle Hersent, publié à titre posthume, nous emmène sur les rives de Belizonde.
Livre d’une intelligence remarquable aussi bien dans les thèmes qu’il traite (l’identité, l’incompréhension entre cultures…) que dans la construction de sa narration, Le Serpent à deux têtes revient sur la violente naissance de l’Australie.
Avec ce récit totalement envoûtant, Théo Grosjean, en nous mettant dans la peau d’un être muet et en apparence asocial, nous convie à l’empathie à son égard. Quant le neuvième art prend tout son sens…
Envie de traverser un désert à fond la caisse au volant d’un camion bourré de stupéfiants, tandis que des bikers survoltés essaient de vous butez ? « Mezkal » satisfera sans doute pas mal de vos fantasmes, ou vous offrira au moins une évasion dantesque et colorée vers un monde d’aventures, de violence et de stupre.
Jean-Christophe Deveney et Tommy Redolfi bâtissent une étrange histoire se déroulant dans le monde de l’architecture, associant un troublant huis clos à une construction labyrinthique.
Avec le manga La Divine Comédie, Soleil nous propose une excursion commentée qui nous mène des tréfonds des enfers aux merveilles du paradis.
Et voici le top BD 2021 tant attendu ! Nos chroniqueurs ont dû se livrer à un véritable marathon pour pouvoir boucler cette sélection, tant l’année fut riche en productions de qualité.
Ce récit adapté des mémoires d’Odette Nilès, la petite amoureuse de Guy Môquet, nous rappelle fort à propos que la véritable Histoire de l’Occupation ne ressemble en rien aux délires de l’extrême-droite, et que nombreux sont ceux qui ont payé de leur vie la veulerie de Pétain et de ses sbires.
Si l’histoire de Thierry Martin est simple, une vengeance dans le Grand Nord américain, le traitement graphique est original et magnifique. Dès les premières pages, j’ai le souffle coupé, je suis transi de froid. Seul dans la forêt enneigée, un homme armé marche, déterminé et effrayant.
Auteur brésilien de comic books à la réputation croissante, le surdoué Danilo Beyruth modernise à son tour le mythe du vampire en le transposant à São Paulo : le résultat, Love Kills, est bluffant graphiquement. Mais est-ce suffisant ?