Toujours entre ombre et lumière, Michael J. Sheehy revient avec six chansons suspendues entre l’amour et son absence. Peu d’instruments, beaucoup d’émotion : un nouvel exercice de dépouillement où la fragilité devient force.
Réapparition impromptue de Miraculous Mule, silencieux depuis 2017 et le brûlot blues-rock de Two Tonne Testimony : surprise, Michael J. Sheehy et ses complices nous proposent, sans trahir leur passé, un retour plein d’âme aux racines de la musique qu’ils aiment.
Cela faisait longtemps, bien trop longtemps, que nous n’avions pas vu en chair et en os, et écouté le précieux Michael J. Sheehy en France. Grâce à l’équipe de Life Is A Minestrone, nous avons pu enfin entendre ses nouvelles chansons, au cours d’un set aussi généreux qu’intimiste.
En attendant un possible retour à une vie artistique plus « normale », Michael J. Sheehy nous offre un album de reprises de chansons traditionnelles irlandaises, librement interprétées dans un esprit similaire à celui de Distance Is the Soul of Beauty.
Dans cette seconde partie de notre interview de Michael J. Sheehy, on continue à explorer sa trajectoire musicale, ses galères passées en tant qu’artiste solo, jusqu’à sa récente renaissance. Et surtout on parle du présent. Et de l’avenir.
Après la sortie, le mois dernier, du nouvel album de Michael J. Sheehy, Distance is the Soul of Beauty, on a décidé de passer en revue la déjà longue carrière de MJS en compagnie de son auteur. Voici la première partie de l’interview qu’il a donné à Benzine Mag.
Si Michael J. Sheehy, marié, père d’une petite fille et désintoxiqué, va mieux – mais reste toujours aussi injustement inconnu du grand public -, on n’ira pas jusqu’à dire que Distance is the Soul of Beauty est un album apaisé, malgré son calme apparent.