
Madre : mère en bord de mer
Grand espoir du cinéma espagnol, Sorogoyen revient après le coup de maître de son thriller politique, El Reino, avec Madre, un film trompeur…
Grand espoir du cinéma espagnol, Sorogoyen revient après le coup de maître de son thriller politique, El Reino, avec Madre, un film trompeur…
Très littéraire, le set de Rodolphe Burger sur le plateau du Studio 104 ce vendredi ? Peut-être, mais surtout aérien, éclectique et électrique, le Lou Reed français – ou plutôt alsacien !
Le « syndrome du second album » a donc frappé The Beths : Jump Rope Gazers est bien trop lisse, bien trop respectueux des canons indie rock 90’s pour tenir les promesses de ce groupe pop dépressif à guitares sur lequel nous comptions beaucoup.
Et si nous parlions d’Olivier Norek, qui après le remarquable Entre Deux Mondes, a confirmé avec Surface, sa position d’écrivain réaliste et humaniste du roman policier français ?
Air, le nouvel album (et non EP !) de Jeanne Added nous est présenté comme une parenthèse dans sa carrière. Mais les parenthèses ne sont-elles pas souvent les moments les plus intéressants d’une vie ?
La surprise devant la sortie en format digital d’un nouvel EP de Dominique A composé et interprété durant le confinement s’est transformé en pur émerveillement : le Silence ou Tout Comme est une réussite majeure.
Après le choc que fut la découverte de Chained, la semaine dernière, Beloved se montre nettement moins convaincant, même si la démarche de Yaron Shani reste passionnante…
Snowpiercer est une série tellement mauvaise qu’on ne peut s’empêcher de vouloir comprendre comment on a pu en arriver là, à partir d’une BD légendaire et d’un film fascinant. Tentative d’analyse d’un désastre.
La période est propice au renouvellement, aux chemins de traverse, et nous avons eu, grâce à France Inter, le privilège de pouvoir assister à une interprétation exceptionnelle du nouveau disque, Air de Jeanne Added !
Récit autobiographique à la fois excitant comme une enquête policière et profondément bouleversant, Rita, sauvée des eaux réconcilierait les plus récalcitrants avec le « roman graphique » !