
La sélection BENZINE des concerts parisiens en avril 2025
Une chose est certaine, en Avril, on ne se découvrira pas d’un fil, tant les bonnes occasions d’écouter de l’excellente musique sont nombreuses. Il y en aura pour tous les goûts …
Une chose est certaine, en Avril, on ne se découvrira pas d’un fil, tant les bonnes occasions d’écouter de l’excellente musique sont nombreuses. Il y en aura pour tous les goûts …
Interviewer Christian Vander, l’âme de Magma, ce groupe monstrueux et génial qui suit son propre chemin depuis un demi-siècle, c’est un cadeau de la vie. Parce que Christian VIT la Musique comme peu d’autres musiciens…
Mark Eitzel appartient au club des génies de la musique américaine, mais trop peu de gens le savent. Hier soir, dans le cadre bienveillant et recueilli de la chapelle de Catherine Watine, il a déversé sur nous une heure et demie de douleur incandescente et d’humour humble mais dévastateur.
Un samouraï déchu qui joue au go plutôt que du sabre, c’est finalement plus original que ce qu’on attendait a priori du Joueur de go, et c’est bien là le charme de ce film imparfait, mais finalement touchant.
Impressionnante analyse du film de Nicholas Roeg et de son influence essentielle sur l’ensemble de l’œuvre de Bowie, David Bowie – l’homme qui venait d’ailleurs est une somme littéralement colossale d’informations et de réflexions.
Après la réussite de la Chica de Nieve il y a 2 ans, il n’était pas indispensable de remettre les mêmes personnages sur une nouvelle enquête, même si l’on apprécie la reconnaissance de la nécessité que l’Espagne se débarrasse du poids oppressant de l’éducation catholique.
Hier, soirée « haute énergie » (un doux euphémisme) à la Maro avec les Néo-Zélandais furieux de The Datsuns, et, en première partie, un très bon groupe garage flamand, Sha-La-Lees.
Nos poils, le dernier Lili Sohn, remet en question nos « préjugés », nos croyances, vis à vis de ce que nous considérons comme joli ou vilain, comme propre ou sale, quand on parle du corps féminin. Une attaque efficace contre les préjugés.
Elliott Murphy est TOUJOURS « alive and well in Paris », et si son dernier album sonne très américain, c’est dans le bon sens du terme, celui qu’on aime : proche de ses racines, il vit et il vibre, prouvant que l’âge qui s’avance n’affecte pas la créativité de notre troubadour préféré.
Alors qu’on doit chaque jour intégrer les conséquences du nouvel ordre mondial qui se met en place, on aura du mal à se détendre devant la série Conflict, où les Finlandais mettent en scène leur inquiétude de « petit pays neutre » à la merci de la convoitise des puissants.