
After My Death : psyché adolescente et autopsie d’une société
Samaria ou Poetry, le cinéma sud-coréen est hanté par les suicidées adolescentes. Nouvelle pierre à cet édifice mortifère, voici After my death. Glaçant.
Samaria ou Poetry, le cinéma sud-coréen est hanté par les suicidées adolescentes. Nouvelle pierre à cet édifice mortifère, voici After my death. Glaçant.
Sur un sujet grave, Andréa Bescond et Eric Métayer proposent avec Les chatouilles un film fort, lumineux et nécessaire en dépit de quelques maladresses.
Catherine Corsini propose un film où le drame se mêle au romantisme suranné dans une oeuvre classique mais intrinsèquement forte. Une belle réussite avec une Virginie Efira épatante.
Un Romain Duris épatant dans un premier film d’une justesse inouïe, en dépit d’un double sujet grave, signé du jeune réalisateur Guillaume Senez.
Voici une chronique percutante, narrant le quotidien de deux amis d’adolescence dans leur ville d’Oakland. Leur destin va basculer lorsque l’un des deux va être témoin d’une bavure policière qui va alors hanter sa conscience.
Un remake qui hésite constamment entre le film d’auteur et le film grand public mais qui révèle Lady Gaga comme une véritiable actrice de cinéma.
Le Russe Sergei Loznitsa nous propose un portrait fragmenté et acéré de son pays d’adoption meurtri par le joug de la Russie dominante. Un film complexe et éclaté… dans tous les sens du terme.
Dix ans après avoir révélé Jennifer Lawrence avec le brillant « Winter’s Bone », la réalisatrice Debra Granik dresse dans « Leave No Trace » le portrait d’un père et de sa fille humaniste mais pas exempt de clichés.
Depuis Phnom Penh, cette histoire abrupte sous la forme d’une vibrante chronique suit le destin d’un travesti proche de la cinquantaine surnommé Mirinda à travers ses activités dans les quartiers miséreux de la capitale cambodgienne.
Kivu, travail ambitieux de Van Hamme et Simon, est une BD importante sur l’horreur africaine, dont on ne peut qu’espérer qu’elle contribue à notre prise de conscience à tous…