[VOD] The lodge : all work and no play makes Grace a mad girl
Après le réussi Goodnight mommy en 2015, Veronika Franz et Severin Fiala reviennent avec une sorte de film d’épouvante psychologique à moitié convaincant.
Après le réussi Goodnight mommy en 2015, Veronika Franz et Severin Fiala reviennent avec une sorte de film d’épouvante psychologique à moitié convaincant.
Le très récent catalogue VOD Apple TV+ crée la surprise en proposant d’emblée un objet curieux, malaisant et très réussi : Servant, oeuvre shyamalanienne en diable, où l’effroi n’est pas forcément là où on le penserait et voudrait.
En brodant intelligemment sur une légende urbaine a priori convenue, Stephen King réussit avec l’Institut un récit éprouvant d’une terrible efficacité.
La sortie en série d’une adaptation de l’Outsider, l’avant-dernier livre du maître de Bangor, est l’occasion de revenir sur ce polar fantastique, typique de la nouvelle veine de Stephen King…
L’auteur japonais Gou Tanabe a relevé avec talent le défi de mettre des images sur les hallucinations de H. P. Lovecraft. Oserez-vous pénétrer dans les fabuleuses et effrayantes ruines de la cité des Anciens ?
Après The Witch, Robert Eggers signe The Lighthouse et plonge le spectateur au cœur d’une fable gothique, à l’intérieur d’un oppressant phare des ténèbres, où tous les sens sont mis à l’épreuve.
Énième production fantastique de la maison Netflix, Eli bénéficie d’une bonne conclusion, malheureusement insuffisante pour lui permettre de trancher franchement sur le tout-venant des films de genre.
Après Under the Shadow, film singulier à la bonne réputation, Babak Anvari confirme ses ambitions dans « l’horreur mentale » mais peine à nous embarquer dans sa nouvelle oeuvre…
Stephen King inadaptable ? C’est devenu une banalité que de déplorer les difficultés du cinéma à transformer les visions du « maître de Bangor » sous forme cinématographique, et ce n’est pas Dans les Hautes Herbes, la toute dernière production Netflix, qui changera grand chose…
Avec son second film, Midsommar, Ari Aster nous propose une expérience radicale, qui ne sera pas de tous les goûts mais confirme la naissance d’un très grand cinéaste.