
“Babysitter” : la comédie horrifique réussie de Monia Chokri
Entre l’horrifique et le conte de fée, la misogynie passée au mixeur de Monia Chokri nous offre à travers Babysitter, une grinçante comédie réjouissante. N’ayez […]
Entre l’horrifique et le conte de fée, la misogynie passée au mixeur de Monia Chokri nous offre à travers Babysitter, une grinçante comédie réjouissante. N’ayez […]
Rien de bien nouveau avec le second lot d’épisodes de la dernière saison de Walking Dead : toujours du remplissage peu inspiré, et toujours des moments assez forts qui nous permettent de ne pas avoir la sensation de perdre notre temps.
En voulant mêler Stephen King, Lovecraft et Bram Stoker dans leur Chapelwaite, les Frères Filardi sont passé à côté de ce qui aurait pu être une très belle série fantastique d’inspiration gothique.
La mini-série Sermons de minuit constitue un éprouvant nouveau chef-d’oeuvre de Mike Flanagan qui, à la suite des Haunting, propose une réflexion puissante et horrifique de la folie religieuse.
Après des saisons 9 et 10 qui avaient marqué le redressement de la série, on se lance donc, avec cette première livraison de 8 épisodes, dans l’ultime ligne droite de Walking Dead. Mais la série s’est-elle réellement débarrassée de ses mauvaises habitudes ?
Sous l’influence de Lynch et Cronenberg, la nouvelle mini-série horrifique mais surtout étrangement originale de Netflix, Brand New Cherry Flavour, vaut finalement bien mieux que la collection de citations qu’elle déploie.
Si elle ne révolutionne aucunement un genre horrifique auquel il adhère de manière assez studieuse, la trilogie Fear Street a toutefois suffisamment d’aspects originaux et de thèmes pertinents pour qu’on accepte de se prendre au jeu.
Après le choc de Grave, Julia Ducournau revient, en lice pour la Palme d’Or à Cannes, avec un choc encore plus brutal : Titane, un vrai geste de cinéma, qui, à la manière de Cronenberg, s’appuie sur le cinéma de genre pour nous parler de sexe, d’amour, de mort aussi. Déconseillé quand même aux âmes sensibles !
Entre loufoquerie du terroir à la Bruno Dumont (en mode P’tit Quinquin) et pastiche de film d’horreur, plus loufoquerie que pastiche d’ailleurs, et même plus terroir qu’horreur, Teddy tente la greffe des genres et la rupture de ton sans réellement convaincre.
On avait tous été bluffés par la première réalisation de l’acteur populaire John Krasinski, Sans un Bruit. Si une suite à ce succès commercial était inévitable, Krasinski nous évite toute déception en ne livrant pas une copie, mais bien un blockbuster « classique » à l’indéniable efficacité.