En 1997, Takeshi Kitano – encore inconnu en occident – remportait le lion d’or de la Mostra de Venise avec son 7 ème film: Hana-bi. Avec Hana-bi, Kitano-san parvient à canaliser son style, à affiner ses obsessions en ciselant son cinéma et les thématiques qui lui sont chères ( peinture, gunfights, jeux de plage et bien d’autres)
En hommage au grand Michel Piccoli, voici une petite tentative d’analyse sur une oeuvre ultra-clivante : La Grande Bouffe de Marco Ferreri. Plus gros scandale du Festival de Cannes à ce jour !
Les Kinks sortent de l’échec cuisant de Village Green. Ray Davies est au plus bas, son bassiste s’en va, ses projets se cassent la gueule les uns après les autres. Et pourtant ! Pourtant Davies et ses Kinks vont nous offrir en 1969 un bijou Pop : Arthur !
Arte diffuse un documentaire sur un groupe plutôt sous-estimé (en France en tout cas) mais à l’influence majeure sur tout le Rock et la Pop Anglaise des années 60 à nos jours : Les Kinks.
Avec The Blade, Tsui Hark vient violer le classique film d’arts martiaux Chinois en lui injectant noirceur, ultra-violence et nihilisme dans un tourbillon d’images à couper le souffle.
En 2007 MGMT sortait Congratulations, un objet ciselé avec soin et d’une perfection indéniable qui hante encore les discothèques des amateurs d’ Indie Rock et de Pop Psyché du monde entier. Congratulations a 10 ans. Félicitations !
1974. Depardieu – Dewaere – Blier. Les Valseuses tombent comme une couille dans le potage de la ménagère giscardienne et éclaboussent d’un potage beaucoup trop épicé une France endormie qui n’en demandait pas tant. Deux monstres sont lâchés sur les écrans de l’hexagone.
Coincé entre Let There Be Rock et Highway to Hell, Powerage n’aura pas eu le succès des deux albums précités. Et pourtant ! Powerage se pose comme un jalon essentiel dans la carrière du groupe…
Au milieu des 90’s, un jeune folkeux Californien débarque sur les ondes avec un Blues étrange, désarticulé : « Loser ». Beck lâche sur les nineties sa singularité, sa créativité sans bornes et son génie nonchalant.
Avec « L’Amour monte », Malo Dormoy nous offre un premier album sentimental, dans la grande tradition de la Chanson Française teinté de rythmes Bossa et de réalisme « Parigot ».