L’opportunité de converser avec l’inarrêtable Jim Jones, de passage dans la capitale pour défendre Ain’t No Peril, l’excellent nouvel album de son nouveau projet Jim Jones All Stars, était trop alléchante pour être déclinée. Pour ne rien gâcher, le personnage se révèle aussi fascinant que sa musique.
Rapport d’une première sortie à Petit Bain, dont l’absence de bassin chloré une déception. Fort heureusement, il s’y joua un concert mémorable qui compensa toute frustration natatoire.
Pas vraiment de trêve estivale pour la bonne musique. Ou plutôt, même avec la rareté des parutions en août, nous avons eu beaucoup de choses formidables à écouter, et beaucoup de raisons de célébrer cet été l’incroyable créativité musicale de notre époque.
Après le molosse d’Algiers, le lycanthrope des Queens, le dragon du Lézard, le lombric de HMLTD et le tigre vert de Rival Sons, voici venir la saison de la panthère écarlate du génial Jim Jones, qui mène son nouveau groupe avec une verve maléfique irrésistible.