
« Effacer l’historique »… et Mort aux GAFA !
Delépine et Kervern mettent en scène trois personnages en guerre contre les géants d’Internet dans une comédie dramatique qui vise juste sans pour autant être totalement aboutie.
Delépine et Kervern mettent en scène trois personnages en guerre contre les géants d’Internet dans une comédie dramatique qui vise juste sans pour autant être totalement aboutie.
Avec ce film modeste et touchant, et par moment même assez drôle, Grégory Magne imagine la rencontre entre un chauffeur fauché et un nez sans inspiration, interprétés joliment par le duo Grégory Montel et Emmanuelle Devos.
Un conte ensoleillé où la psychanalyse sort dans la rue pour se confronter à la réalité d’une société tunisienne qui ne va clairement pas très bien : un film souvent drôle conjuguant réflexion et empathie.
Loin, mais peut-être pas tant que ça par son approche fun et décomplexée, de la saga Thor, Taika Waititi propose avec Jojo Rabbit un film surtout destiné aux plus jeunes…
La musique de Bruce Springsteen a des vertus XXL. Pour Javed le héros principal de Music of my life, les mini-épopées springsteeniennes ont été le déclic pour la prise en main de sa destinée.
Une rencontre inédite organisée afin de régler son compte à l’amant, décrit comme un véritable pervers narcissique. Ce conte des temps modernes propose un pitch digne d’une comédie de boulevard mais trouve une singularité plus désenchantée.
Olivier Ducastel et Jacques Martineau se sont amusés à bricoler, en quelques jours, un film-concept qui tourne vite à l’exercice de style assez vain.
Pour son premier film, l’acteur américain Jonah Hill signe une attachante petite chronique 90’s en forme de récit d’apprentissage. Un film juste mais sans réelle profondeur.
Malgré son format « télé », Lola et ses frères se présente comme une chronique dont la simplicité est autant vecteur de banalité que de beaux moments.
Comédie sans surprise mais plutot sympathique, Les bonnes intentions fera à coup sûr un bon petit film du dimanche soir.